L'Indimentichevule Battellu Biancu
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L'Indimentichevule Battellu Biancu

A Corsica misteriosa è accuglienta chè vo amate
 
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Battellu Biancu et Beltàchjara vous souhaites une très bonne année 2015. Pace è salute à tutti pè u 2015

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 Conte philosophique

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Corsica
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MessageSujet: Conte philosophique   Conte philosophique EmptyMer 15 Nov - 9:15

Histoire de Paradis et d'Enfer

Un homme et son chien marchaient le long d'une route. L'homme admirait le paysage quand tout à coup il réalisa qu'il était mort. Il se rappela sa mort et réalisa que son chien aussi était mort depuis des années. Il se demandait où le chemin les amènerait.

Après un moment, ils approchèrent d'une grosse roche blanche. Elle ressemblait à une bille. Rendu au sommet, il vit qu'elle était fendue et qu'une lumière en jaillissait.
Quand il s'approcha, il vit une route en or pur et une magnifique entrée. L'homme et son chien marchèrent jusqu'à la porte. Au fur et à mesure qu'ils approchaient, l'homme vit un autre homme assis à une table. Quand il fut assez proche, il demanda à l'homme :
"Où sommes-nous?"
-"Vous êtes au paradis monsieur"
-"Wow! Est-ce que vous auriez de l'eau?"
-"Bien sûr! Entrez, je vais vous faire venir de l'eau froide dans un instant."
L'homme fit quelques gestes et la porte ouvrit.
-"Est-ce que mon chien peut entrer?" demanda-t-il en pointant le chien.
-"Désolé monsieur, mais nous n'acceptons pas les animaux." L'homme réfléchit et décida de reprendre le chemin.

Après une longue marche, au sommet d'une colline, il croisa une route de terre qui le mena à une porte de grange qui avait l'air de n'avoir jamais été fermée. Il n'y avait pas de clôture. Alors qu'il s'approchait, il vit un homme appuyé sur un arbre qui lisait un livre.
-«Excusez moi monsieur, est-ce que vous avez de l'eau?
-"Bien sûr, il y a une pompe un peu plus loin."
Il pointa plus loin mais on ne voyait rien.
-"Venez à l'intérieur , je vous la montre"
-"Est-ce que mon ami peut venir?
-"Bien sûr, il doit y avoir un bol près de la pompe"
Ils traversèrent la porte et virent une vieille pompe avec un bol à ses côtés. L'homme rempli le bol, prit une gorgée et donna le reste au chien. Quand ils eurent fini, ils retournèrent voir l'homme qui était toujours près de l'arbre.

-"Comment appelez-vous cet endroit?"
-"Mais c'est le paradis"
-"C'est amusant. L'homme que nous avons rencontré un peu plus tôt a dit la même chose.
"-"Ah! Vous parlez du chemin en or et de la porte en perle? Non, ça c'est l'enfer"
-"Mais ça ne vous fâche pas qu'ils utilisent votre nom comme ça?"
-"Non, mais je comprends que vous me posiez la question. Nous sommes seulement contents qu'ils attirent les gens qui laissent leurs amis derrière."

Parfois on se demande pourquoi nos amis continuent de nous envoyer des blagues sans nous écrire un petit mot.
Peut-être que ceci peut l'expliquer:
-"Quand je suis très occupé, mais que je veux quand même garder contact, devines ce que je fais, je t'envoie des blagues."

-"Quand j'ai rien à dire, mais que je veux quand même garder le contact, je transfère des blagues."

-"Quand j'ai quelque chose à dire, mais que je ne sais pas quoi et je ne sais pas comment, j'envoie des blagues."

-"Et pour te laisser savoir que je ne t'oublie pas, que tu es encore important, que tu es encore aimé et apprécié, bien… qu'est-ce que tu reçois? "
-"Une blague de ma part."

-"Alors mon ami(e), la prochaine fois que tu reçois une blague, ne pense pas que c'est seulement une blague, mais plutôt, que j'ai pensé à toi aujourd'hui et que je voulais t'envoyer un sourire."

Vive l'Internet, c'est vrai que ça nous permet de garder le contact même lorsque nous sommes très occupés. Ça nous permet de dire aux amis(es), -"Regarde, je ne t'ai pas oublié".


Histoire transmise par Mieux apprendre.com
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Corsica
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MessageSujet: Re: Conte philosophique   Conte philosophique EmptyJeu 16 Nov - 8:26

Prendre le temps

Mon ami ouvrit le tiroir de la commode de son épouse et en sorti un petit paquet enveloppé de papier de soie: " Ceci, dit-il, n'est pas un simple paquet, c'est de la lingerie" ". Il jeta le papier et observa la soie et la dentelle. " J'ai acheté ceci la première fois que nous sommes partis en voyage, il y a 8 ou 9 ans. Mais, elle ne l'a jamais utilisé. Elle voulait le conserver pour une occasion spéciale. Et bien... je crois que c'est le bon
moment justement ". Il s'approcha du lit et rajouta ce paquet à d'autres choses que les pompes funèbres emmèneraient. Sa femme venait de mourir.

En se tournant vers moi il me dit : " Ne garde rien pour une occasion spéciale, chaque jour que tu vis est une occasion spéciale ". Je pense toujours à ces paroles ... elles ont changé ma vie.

Aujourd'hui, je lis beaucoup plus qu'avant et je nettoie moins. Je m'assieds sur ma terrasse et admire le paysage sans prêter attention aux mauvaises herbes du jardin. Je passe plus de temps avec ma famille et mes amis et moins de temps au travail. J'ai compris que la vie est un ensemble d'expériences à apprécier. Désormais je ne conserve rien. J'utilise mes verres en cristal tous les jours. Je mets ma nouvelle veste
pour aller au supermarché, si l'envie m'en prend. Je ne garde plus mon meilleur parfum pour les jours de fêtes, je l'utilise dès que j'en ai envie. Les phrases du type " un jour... " et " un de ces jours ... " sont entrain d'être bannies de mon vocabulaire.

Si cela en vaut la peine, je veux voir, entendre et faire les choses maintenant. Je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu'aurait fait la femme de mon ami si elle avait su qu'elle ne serait plus là demain. Je crois qu'elle aurait appelé sa famille et ses amis intimes. Peut-être aurait-elle appelé quelques vieux amis pour faire la paix ou s'excuser pour une
vieille querelle passée.

J'aime penser qu'elle serait peut-être allée chinois (sa cuisine préférée).

Ce sont toutes ces petites choses non faites qui m'énerveraient beaucoup si je savais que mes heures sont comptées. Je serais énervé de ne plus avoir vu certains de mes amis avec lesquels je devais me remettre en contact " un de ces jours... " Énervé de ne pas
avoir écrit les lettres que j'avais l'intention d'écrire " un de ces jours... " Énervé de ne pas avoir dit assez souvent à mes proches combien je les aime.

Maintenant je ne retarde rien, ne repousse ou conserve rien qui pourrait apporter de la joie et des rires à nos vies. Je me dis que chaque jour est spécial. Chaque jour, chaque heure, chaque minute est spéciale...

Si tu lis ce message c'est que quelqu'un a pensé à toi.

Peut-être as-tu de ton côté des gens qui te sont chers. Si tu ne peux pas prendre quelques minutes pour l'envoyer à d'autres et que tu te dis je l'enverrai " un de ces jours... ", un de ces jours c'est loin... peut-être ne le feras-tu jamais...
Cette histoire vous a été transmise par MIEUXAPPRENDRE.COM
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julia
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MessageSujet: Re: Conte philosophique   Conte philosophique EmptySam 14 Avr - 18:12

Le petit garçon qui plantait des clous !


C'est l'histoire d'un petit garçon qui avait mauvais caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.

Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture. Les semaines qui suivirent à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture...Il découvrit qu'il était plus facile de contrôler son humeur que d'aller planter des clous derrière la clôture...

Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur. Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture.

Son père le prit par la main et l'amena à la clôture. Il lui dit: "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours. Une offense verbale est aussi néfaste qu'une offense physique.

Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur coeur.

Auteur(e) inconnu(e)
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Corsica
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MessageSujet: Re: Conte philosophique   Conte philosophique EmptyMar 21 Aoû - 23:43

Churchill et la pénicilline

On raconte l’histoire d’un homme qui s'appelait Fleming, et qui était un pauvre fermier écossais. Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche. Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer. Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.
Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme. Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.
- Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils.
- Non, je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait, répondit le fermier écossais.

A ce moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.
- C'est votre fils, demanda le noble.
- Oui, répondit fièrement le fermier.
- Je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'au mien. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

Et le fermier accepta. Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et au final, fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres. Il continua jusqu'à être connu du monde entier. Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage avait une pneumonie. Qui lui sauva la vie cette fois ? La pénicilline. Comment s'appelait le noble ? Sir Randolph Churchill. Qui était son fils ? Sir Winston Churchill.

Il s’agit bien sûr d’une légende, mais cette petite histoire nous rappelle les valeurs essentielles de l’amitié et de l’altruisme.

Même si ce n'est pas la journée internationale de l'amitié, envoie quand même ce message à tous ceux que tu considères comme tes amis. Il ne se passera rien si tu ne le fais pas. Mais si tu le fais, quelqu'un sourira grâce à toi.

*** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** *** ***

Quelqu'un a dit un jour : Tout ce qui s'en va revient...

Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.
Aime comme si tu n'avais jamais été blessé,
Danse comme si personne ne te regardait.
Chante comme si personne ne t'écoutait.
Vis comme si le Ciel était sur la Terre...


Que tu aies toujours quelque chose à faire
Que ton portefeuille contienne toujours une monnaie ou deux
Que le soleil brille à ta fenêtre
Que la pluie t'offre après- un arc-en-ciel
Que tu aies toujours un ami près de toi
Que la joie et l'espoir soient dans ton cœur
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